Oie domestique

L'Oie domestique est un oiseau palmipède domestiqué à partir d'au moins deux espèces d'oies sauvages : l'Oie cendrée, l'Oie cygnoïde et leurs hybrides qui ont pour particularité d'être fertiles.



Catégories :

Nom vernaculaire ou nom normalisé ambigu - Volaille - Aviculture - Animal domestique

Recherche sur Google Images :


Source image : photosgaby.photo.doctissimo.fr
Cette image est un résultat de recherche de Google Image. Elle est peut-être réduite par rapport à l'originale et/ou protégée par des droits d'auteur.

Page(s) en rapport avec ce sujet :

  • ... Ainsi toutes nos oies domestiques descendent de deux espèces uniquement, Anser anser qui est l'oie cendrée sauvage, et Anser cygnoides qui... (source : moineaudeparis)
Nom vernaculaire ou
nom normalisé ambigu :
Le terme «Oie domestique» sert à désigner, en français,
plusieurs taxons différents. Icône de redirection
Oie domestique
Oie de Guinée, variété domestique de l'Oie cygnoïde
Oie de Guinée, variété domestique de l'Oie cygnoïde
Taxons concernés

Deux espèces parmi le genre Anser :

L'Oie domestique est un oiseau palmipède domestiqué à partir d'au moins deux espèces d'oies sauvages : l'Oie cendrée, l'Oie cygnoïde et leurs hybrides qui ont pour particularité d'être fertiles. L'élevage des oies domestiques est en progression, ces volailles sont appréciées tant pour leur chair (dont le foie gras) que pour la production de plumes. D'une manière plus marginale, les oies sont élevées pour apporter des œufs, et même pour faire du gardiennage et pour désherber les cultures.

Domestication

Les espèces d'oies Anser Anser et Anser cygnoides, dont sont essentiellement issues les oies domestiques, ont été domestiquées indépendamment l'une de l'autre. Si leur distribution était jadis respectivement ouest-est , on les retrouve actuellement partout dans le monde, y compris dans les pays tropicaux, du moment où elles peuvent trouver un espace ombragé.

De nombreuses races ont été développées si quoiqu'il existe un large éventail de couleurs, de tailles et de formes. Anser anser, possédant naturellement peu de dimorphisme sexuel, a été choisie de manière à les faire apparaître. Généralement, les souches domestiques sont plus grosses que leurs ancêtres sauvages, quoiqu'elles aient fréquemment conservé leur aptitude au vol. D'autres caractéristiques physiques sont observables comme la capacité à se tenir debout, pour pouvoir marcher.

Anser cygnoides Anser anser
Oie sauvage Oie domestique Oie sauvage Oie domestique
posture horizontale
avec un arrière-train fin
posture verticale
avec un arrière-train gras
et une caroncule au niveau du bec
moins fine, de grosses cuisses

Appellations

On utilise le terme Oie de Guinée, de Chine, ou moscovite pour désigner les races issues de l'Oie cygnoïde et le terme Oie européenne pour désigner les races issues de l'Oie cendrée.

Origines de l'oie dite européenne

Gavage d'oie en Égypte antique

Les oies (certainement Anser Anser) sont domestiquées en Égypte depuis probablement le 3e millénaire av. J. -C. , peut être plus. Selon Jules César, cet oiseau était tenu pour sacré en Britannia, où on ne le mangeait pas[1]. Chez les Grecs cet animal avait la réputation d'enrichir ses propriétaires. C'est la première espèce de la famille des Anatidæ à l'être, même si leur exploitation commerciale a toujours eu moins de succès que celle du canard domestique. Les femelles de certaines races pondent jusqu'à 50 œufs par an.

Les oies occidentales sont le plus fréquemment blanches, ce trait était déjà prisé et par conséquent choisi chez les Romains[2]. Rome en importait de ses provinces, en particulier de Gaules où elles étaient une spécialité[3] et d'où elle venait, à pied[2]. Elles étaient aussi fort apprécié pour leur foie.

Les calamus des plumes sont utilisés depuis le Ve siècle.

Origine de l'Oie de Guinée

La domestication à l'origine de cette forme a certainement eu lieu en Chine ou en Mongolie. Il n'en existe pas moins de 20 races d'oies en Chine. Les mâles de ces races d'oies possèdent une caroncule au niveau du bec, au contraire de l'oie européenne. Ceci permet le sexage vers 6 à 8 mois, quand l'animal devient adulte. Connues bonnes pondeuses, ces races, dont certaines vont jusqu'à pondre 210 œufs par an, sont cependant moins bonnes productrices de viande que les races d'oie européenne. Ces oies sont reconnues pour être particulièrement efficaces dans le gardiennage. En outre, elles possèdent de solides pattes qui leur permettent de se déplacer sur de larges étendues pour pâturer.

Autres oies

D'autres oies peuvent être domestiquée, oie venant de zone à climat tempéré comme la Bernache du Canada (Branta canadensis) en d'Amérique du Nord, le Cygne coscoroba (Coscoroba coscoroba) de l'extrême sud de l'Amérique. Mais également des oies originaires de zones à climat tropical comme l'Ouette d'Égypte (Alopochen ægyptiacus) en Afrique, la Bernache néné (Branta sandvicensis) aux îles Hawaï, l'Oie à tête barrée (Anser indicus) en Inde et en Asie centrale, l'Oie de Gambie (Plectropectus gambensis) en Afrique tropicale, et l'Oie-pie ou Oie semi-palmée (Anseranas semipalmata) en Australie et en Nouvelle-Guinée.

Toutes ses oies pourraient aussi servir de réservoir génétique, mais dans la communauté européenne au moins, aucuns spécimens d'origine sauvage ne peut être détenue dans un élevage[4].

Hybrides

Elles sont issues de l'oie de Guinée et de l'oie européenne, mais des apports génétiques provenant d'autres oies ne sont pas obligatoirement exclus. Anser Anser peut aussi s'hybrider avec Branta canadensis

Races

Il existe sans doute plus d'une centaine de races.

Tableau de races[5]
Nom vernaculaire Espèce souche Couleur Poids Nombre d'œufs par ponte Poids des œufs Origine géographique
Plumes Bec et patte du mâle de la femelle
Anser anser Blanc Orange 5 à 6 kg 4, 5 à 5 kg 120g Rives de la mer Noire
Anser anser Blanc Orange 5kg 4kg 45 140g République tchèque
Anser anser Jars blanc
Oie grise
6kg 5, 2kg 30 170g Europe
Anser anser Blanche Orange 7-9kg 5-7kg 25-30 160-170g Russie
Oie d'Alsace Anser anser 4 à 4, 5kg 4 à 4, 5kg 120 g France France
Anser anser 9 à 10kg 7 à 8kg 160g France France
Oie normande Anser anser Jars blanc
Oie bicolore
4, 5 à 5, 5kg 4 à 5kg 120g France France
Oie grise des Landes Anser anser 7kg 6kg France France
Oie du Poitou Anser anser 6, 5kg 6kg France France
Oie de Touraine Anser anser 6 à 7kg 5 à 6kg France France
Oie de Toulouse à bavette Anser anser 9 à 10kg 8 à 9kg 160 g France France
Oie de Toulouse sans bavette Anser anser 8 à 10kg 6 à 8kg France France
Oie du Tarn Anser anser 6 à 8kg 6 à 8kg France France
Oie grise du marais poitevin Anser anser gris et blanc rose 4 à 5kg 4 à 4, 5kg 15 à 35 France France
Oie de Guinée Anser cygnoides
Oie de Poméranie Anser anser Allemagne Allemagne
Oie de Lippe Anser anser Allemagne Allemagne
Oie de combat de Steinbach Anser anser Allemagne Allemagne
Oie d'Emden Anser anser Allemagne Allemagne
Oie de Celle Anser anser Allemagne Allemagne
Oie de Lege Anser anser Allemagne Allemagne
Oie d'Empordá 6kg 5, 5kg 160 g Espagne Espagne
Oie flamande 5 à 6kg 4 à 4, 5kg Belgique Belgique
Oie de Siam Anser cygnoides

Alimentation
Icône de détail Article détaillé : Dispositif digestif aviaire.

Les oies domestiques, aptitude déjà présente dans les espèces sauvages, ont été choisies de manière à ce qu'elles puissent consommer des aliments riches en fibres de manière à pouvoir pâturer ainsi qu'à consommer les déchets des humains. En outre, l'animal est naturellement gourmand et comme les variétés sauvages qui connaissent un Zugunruhe, elle accumule aisément les graisses.

Le dispositif digestif des oies est comparable à celui des autres oiseaux, cependant elles disposent d'un gésier puissant, pouvant atteindre des pressions près de deux fois supérieures à celles du canard domestique et plus de deux fois celles de la poule domestique. Le cæcum, où a lieu la dégradation microbienne des fibres, est aussi extrêmement développé.

L'oie ne digère que 15 à 30 % des fibres qu'elle ingère[6].

Les oies peuvent être nourries avec des herbes récoltées, des grains et des épluchures de légumes. Elles peuvent aussi être amenées pour patûrer. Certains éleveurs les mènent sur des parcelles agricoles fraîchement récoltées comme des parcelles de céréales ou de légumes (carottes, choux, salades) où elles peuvent glaner à manger.

Comportement

Les oies disposent d'une bonne mémoire, ce qui les rend efficaces pour le gardiennage. Elles sont particulièrement sociables et possèdent un instinct grégaire développé. Contrairement aux espèces ancestrales sauvages qui sont monogames, les jars prennent plus volontiers de 4 à 6 femelles. Cependant dans les groupes qui plus est d'une vingtaine d'individus devant partager le même dortoir, des liens privilégiés peuvent être perdus.

Ces caractéristiques sont utiles à l'élevage. Les oies sont généralement peu agressives envers des autres spécimens et les autres animaux. On observe peu de picage.

Leur bonne mémoire et leur instinct grégaire sont utilisés pour leur apprendre où se trouvent leurs pâturages, même éloignés.

Production d'œufs

Les oies produisent peu d'œufs en comparaison des canards ou des poules, qui plus est la ponte est naturellement particulièrement saisonnière. Les aviculteurs exposent les pondeuses à la lumière artificielle pour modifier ou pour prolonger la période de ponte. Depuis l'antiquité, on sait faire produire deux pontes par an aux oies[2].

Naturellement, les oies sont plutôt monogames ; cependant pour optimiser leur production d'œufs, les éleveurs forment leurs troupeaux avec un mâle pour quatre à six femelles, plusieurs semaines avant le début de la saison, typiquement deux mois avant le printemps.

La constitution du troupeau de reproducteurs avant le début de la ponte est importante pour garantir un bon niveau de fertilisation des œufs et pour éviter les conflits qui augmentent la mortalité et font baisser la natalité.

Incubation

Icône de détail Articles détaillés : incubation et poussin d'un jour.

Les œufs conçu pour obtenir des oisons doivent être incubés. Plusieurs techniques sont utilisées : l'incubation naturelle, ou artificielles selon des techniques analogues à celle mise en œuvre pour l'obtention des poussins d'un jour. La législation française assimile d'ailleurs les oisons et les poussins de poule domestique, tant qu'ils n'ont pas été nourris[7]. Le succès de l'incubation artificielle débute par la collecte méticuleuse des œufs dans les nids, par une bonne conservation des œufs avant l'incubation et enfin par le maintien de la température durant toute la durée de l'incubation. Du fait de la durée de couvaison, les œufs doivent être stocké en chambre froide et doivent régulièrement être retourné. Cette durée de stockage influe largement sur l'éclosabilité des œufs. Une fumigation, protégeant l'œuf des agents pathogènes présent sur sa coquille augmente la chance de survie de l'œuf. Enfin, ils sont préchauffés avant d'être à proprement parler incuber. Les producteurs d'oisons utilisent deux types d'appareillage pour l'incubation, les appareils d'incubation ventilé, et les appareils d'incubation statique, ces derniers étant plus rudimentaire. Les œufs sont peut-être mirés par les aviculteurs afin d'écarter les œufs morts.

Identification
Icône de détail Article détaillé : sexage.

Il est presque impossible à un humain d'identifier des oies adultes, et même le sexe de ces oies car le dimorphisme sexuel est inexistant pour énormément de races. Or, les aviculteurs, pour optimiser leur production par exemple en opérant des statistiques sur les performances des individus, en destinant les mâles surnuméraires à d'autre destins que la reproduction, en abattant les oies à un âge précis, ont besoin d'identifier exactement les spécimens.

Les oisons mâles de la majorité des races apparentées à celle d'Embden et certaines races de blanche d'Italie ont des duvets plus clairs que ceux des femelles, mais cette différence s'estompant rapidement, la pose des bagues doit ce faire dans les premiers jours. Pour d'autres races comme celle des oies de guinée, la différentiation se fait à la puberté car la taille du caroncule est plus importante chez les mâles que chez les femelles. Pour certaines races issues d'Anser anser comme les Pilgrims, le sexage est envisageable par la différence de livrée. Pour les autres, il est indispensable d'examiner le cloaque des oisillons. La tâche est bien plus simple qu'avec les poussins d'un jour, le «pénis» étant visible dans le cloaque. Et au contraire de la poule domestique où le sexage adulte n'est plus indispensable grâce à la naissance des caractères sexuels secondaires, il peut être indispensable de le pratiquer sur les oies adultes des races sans dimorphismes sexuels.

Généralités
Icône de détail Article détaillé : élevage sélectif des animaux.

Les oies sont généralement gardées 4 ans par les éleveurs. Ils cherchent à former des troupeaux où l'ensemble des classes d'âges sont représentées.

Insémination artificielle

Icône de détail Article détaillé : Appareil reproducteur.

Du fait de différences anatomiques entre les Anseriformes et les Galliformes, la technique d'insémination artificielle est différente entre les espèces domestiques d'oies et canards domestiques et les poules. En effet, l'appareil copulateur des jars improprement nommé pénis est , au contraire de celui des Galliformes, particulièrement développé. Il est évaginable et se présente sous forme d'une spirale d'environ 15 cm. Un sillon spermatique parcourt ce canal sur toute sa longueur, il véhicule le sperme après émission.

Cette technique demande énormément de main d'œuvre, les prélèvements de semence obtenus peuvent énormément fluctuer entre jars et doivent être répétés jusqu'à deux fois par semaine. L'insémination artificielle est utilisée dans le cadre d'un sélection.

Production

La production mondiale d'oie a fortement augmenté ces dernières années, celle de 2008 étant près de huit fois plus importante qu'en 1962.

Production en milliers de tête[8]
1962 1964 1966 1968 1970 1972 1974 1976 1978 1980 1982 1984 1986 1988 1990 1992 1994 1996 1998 2000 2002 2004
37737 40928 44491 50302 54577 57625. 61283 63091 67214 69272 76120 81216 92542 113765 131557 163788 209338 220645 210161 234497 267489 295127

Production de viande

Les oies à rôtir sont élevées principalement en Bretagne, dans les Pays de Loire, dans le nord et l'est de la France. Cette production est en particulier concentrée vers la fin de l'année, période durant laquelle 60 % sont consommés.

Production de foie gras

Le foie gras est obtenu par gavage, technique déjà employée par les Égyptiens antiques et les Romains qui faisaient ingurgiter du pain et des figues sèches à leurs oies. Le maïs a remplacé cette nourriture au XVIe siècle après son introduction en Europe. Après avoir été gonflée à l'eau tiède, cette céréale est ingurgitée aux oiseaux à raison de 0, 6 à 1, 5 kg par jour. L'élevage des oies pour la production de foie gras est spécifiquement important en Aquitaine et en Midi-Pyrénées[9], il est aussi assez développé en Alsace.

Production de plumes et de duvets

La récolte de duvet continue dans les pays industriels d'être une source de revenus non-négligeable. Les oies domestiques sont la source principale de duvet. Les revenus proviennent des animaux abattus et des mues naturelles à partir de l'âge de 9 à 10 semaines et l'ensemble des six semaines pour produire 100 grammes de plumes dont 10 % de duvet à peu près chez les oies[10].

Désherbage des cultures par les oies

Le désherbage par les oies étaient assez pratiqué dans les années 1950, avant l'invention des désherbants efficaces, cette pratique a été abandonnée dans les années 1970. Aux États-Unis, les oies désherbaient les champs de coton. Elles désherbaient aussi les asperges, les pommes de terre, les arbustes à baies rouges, les pépinières, le tabac, les noisetiers, la vigne, les vergers, les betteraves, les haricots, le houblon, les oignons, les fraises et les fleurs d'ornement.

Une autre pratique consiste à l'entretien des douves et des fossés. Les oies aident les autorités à lutter contre les invasives telles les jacinthes d'eau.

En outre cette technique sert à moins nourrir les animaux et leurs excréments contribuent à la fertilisation des sols par apport d'azote.

L'Oie domestique dans la culture
  • Selon la légende, les oies du Capitole sauvèrent Rome en -390. Lorsque les Gaulois tentèrent, de nuit, d'escalader les murs de la ville, les oies éveillèrent la garde par leurs cris, faisant ainsi échouer la tentative d'invasion[11].
  • Dans le série télévisée d'animation française, Aglaé et Sidonie, Sidonie est une oie domestique de couleur blanche.
  • Le mythe de «La poule aux œufs d'or » est en fait une oie issue d'un mythe grec, explicité par Esope dans ses fables, certainement du fait de la rentabilité de ces oiseaux.
  • De nombreux ouvrage de la Rome antique sur l'agriculture comme ceux de Columelle ou Varron, de poésie, d'histoire militaire parle de ces animaux.
  • Place du marché aux oies à Sarlat-la-Caneda est un lieu de foires jusqu'au XIXe siècle. Il y a moins de 30 ans, on vendait sur cette place ces animaux de basse cour. De cette époque datent les 3 oies en bronze du sculpteur animalier François Xavier Lalanne qui ornent cette place, devenues actuellement les figures emblématiques de Sarlat. Il est désormais impossible de passer à côte de l'oie blanche, mascotte de la région qui apporte à Sarlat-la-Caneda une partie de son identité gastronomique.
  • L'oie de la Saint-Martin est une tradition du nord de l'Europe et qui consiste à manger une oie le jour de la Saint-Martin, à savoir le 11 novembre, période ou les oies sont les plus grasses. La légende raconte que Saint Martin de Tours, pour éviter d'être appelé évêque s'était caché parmi les oies mais qu'il avait été trahi par leur caquètement. Cette tradition venant de France. Pour les personnes pauvres, l'oie fréquemment chère était remplacée par une autre volaille.

Liens externes

Notes et références

  1. Commentaires sur la Guerre des Gaules, V-12 Jules César.
  2. abc L'Histoire naturelle, Pline l'Ancien, Livre X, XXIX.
  3. (fr) La Gaule du Ier siècle avant Jésus Christ. .
  4. (fr) Recommandation concernant les oies domestiques (Anser anser f. domesticus, Anser cygnoides f. domesticus) et leurs croisements, Conseil de l'Europe, Comité permanent de la convention européenne sur la protection des animaux dans les élevages (T-AP).
  5. (fr) Production des oies - Annexe 1. Souches d'oies, FAO.
  6. (fr) Production des oies - Chapitre 3. L'appareil digestif, FAO.
  7. (fr) Arrêté du 29 octobre 2007 fixant des mesures techniques et administratives relatives à la lutte contre l'influenza aviaire (NOR : AGRG0769497A), paru au Journal officiel du 9 novembre 2007.
  8. (fr) Data Archives > Production > Live Animals, FAO.
  9. (fr) Delannoy D. (2007) Animaux de la ferme. Artémis Editions, 95 p.
  10. (fr) Production des oies - Chapitre 10. Production de plumes et de duvets (d'oies) , FAO.
  11. Histoire Romaine , Tite-Live, Livre V, chapitre XLVII.

Recherche sur Amazone (livres) :




Ce texte est issu de l'encyclopédie Wikipedia. Vous pouvez consulter sa version originale dans cette encyclopédie à l'adresse http://fr.wikipedia.org/wiki/Oie_domestique.
Voir la liste des contributeurs.
La version présentée ici à été extraite depuis cette source le 05/05/2009.
Ce texte est disponible sous les termes de la licence de documentation libre GNU (GFDL).
La liste des définitions proposées en tête de page est une sélection parmi les résultats obtenus à l'aide de la commande "define:" de Google.
Cette page fait partie du projet Wikibis.
Accueil Recherche Aller au contenuDébut page
ContactContact ImprimerImprimer liens d'évitement et raccourcis clavierAccessibilité
Aller au menu